Paroles et musique : Erwens
Extrait de l’album « Eponyme » Erwens
Toi saltimbanque majuscule,
De l’aurore au crépuscule,
Un mini môme, au maximum,
Tes mains tes mains,
Tes yeux et tes refrains,
Sans lendemains, sans lendemains,
Quand tous tes gestes disaient aux autres …..
Si tu piaffes d’impatience, patience….
Ne crois pas que tu n’as pas d’âme,
Pas d’âme…
Tout ce qui vient de la foule,
Défoule cette force
Qui est un hymne…… à toi…
Tu avais l’argent au bout des doigts,
Et tout le monde a cru en toi,
Où t’as mis l’or, à part ton corps,
Ta voix ta voix, ton cœur
Et puis ta foi,
C’était ta croix, c’était ta loi,
Quand toute ta vie disait aux autres….
Si tu piaffes d’impatience, patience,
Ne crois pas que tu n’as pas d’âme,
Pas d’âme,
Tout ce qui vient de la foule,
Défoule cette force
Qui est un hymne…… à toi…
Un gros titre dans les journaux,
Première page, sa photo .
Mais ta vie n’est pas si rose,
Elle tient à si peu de choses.
Et dans la liste des éléments,
Quelle autre force qu’un océan,
Aurait pu t’causer tant de tourments ?
Et maintenant tu serres les dents,
Et comme lui tu serres les poings….
Si tu piaffes d’impatience, patience,
Ne crois pas que tu n’as pas d’âme,
Pas d’âme,
Tout ce qui vient de la Houle,
Déroule cette force
Comme un hymne…
À l’amour !