Paroles et musique : Erwens
Extrait de l’album « Eponyme » Erwens
C’est comme des images dans la tête,
Qui se bousculent et qui s’envolent,
Comme des histoires sans paroles,
J’ai besoin d’elles pour faire la fête.
Je ferme les yeux et je décolle,
Pas facile, de changer de rôle.
C’est comme une flamme sans chaleur,
Qui passe et qui parle à mon cœur,
Qui me touche et puis qui m’effleure,
Et qui efface mes douleurs en couleur (bis)
Mais je ne dois rien à personne,
Sur tout que je vous donne,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Qui dort à l’intérieur,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Que je sors, de l’intérieur
C’est comme une blessure d’enfance,
Un souvenir, une drôle d’errance,
Juste un refrain en forme d’absence,
Des mots et des phrases en souffrance,
Pour exprimer mes différences,
C’est juste, pour saisir ma chance.
Je n’peux pas vivre en chien d’faïence,
À la merci d’une défaillance,
En ce monde d’intolérance,
Déchirure, qui se fait en silence, (bis)
Mais je ne dois rien à personne,
Sur tout que je vous donne,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Qui dort à l’intérieur,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Que je sors, de l’intérieur.
J’ai peur du vide autour de moi
Peur de la vie, de mes faux pas,
Peur qu’on décide à travers moi
Et même la nuit j’en pleure,
Peut-être, faut pas.
C’est comme une flamme sans chaleur,
Qui passe et qui parle à mon cœur,
Qui me touche et puis qui m’effleure,
Et qui efface mes douleurs en couleur.
Et qui efface mes douleurs en couleur.
Mais je ne dois rien à personne,
Sur tout que je vous donne,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Qui dort à l’intérieur,
Et c’est comme un morceau de cœur,
Que je sors, de l’intérieur.
De l’intérieur.