Paroles et musique : Erwens
Extrait de l’album « Contes à rebours » Erwens
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Toutes ces petites choses,
Ses sourires en coin,
Ces fleurs qu’elle dépose
Du bout de ses mains.
Et ce regard fier
Qui vous transforme en pierre,
Oiseau qui s’envole,
De son aile me frôle.
Sur mon calendrier,
Tous mes jours sont fériés,
J’suis désolé….
Et tous ces draps froissés,
Souvenirs d’amours pressés,
Ces regards qu’on oublie
En s’disant, c’est fini.
Cassures inutiles
De ces cœurs trop fragiles,
D’avoir servis si forts,
Qu’ils en demandent encore….
Et moi j’cours, j’cours,
Je cours à perdre haleine,
Sur des routes brûlées
De déserts d’amours fous,
J’cours, j’cours,
Je cours comme un enfant,
Qui a troqué se jouets
Pour une peau d’adulte.
Lendemains qui pleurent,
Accompagnent les cœurs,
De ces amours aphones,
En regrets silicones,
Et puis passe le temps,[/one_half]
En riant doucement,
D’ces hivers camouflés
En étés fatigués.
Sur mon calendrier,
C’est tout l’temps le printemps,
J’suis désolé…..
Et moi j’cours, j’cours,
Je cours à perdre haleine,
Sur des routes brûlées
De déserts d’amours fous,
J’cours, j’cours,
Je cours comme un enfant,
Qui a troqué ses jouets
Pour une peau d’adulte.
J’oublie toutes ces images,
Me promets d’être sage,
Dans cette vie qui fait rage,
Quand on sort de la cage.
Il y a même des chansons
Qu’on écrit sans raison,
Autre que celle du cœur,
Pour en faire son bonheur.
Réf…bis.
Il y a même des chansons
Qu’on écrit sans raison,
Autre que celle du cœur,
Pour en faire son bonheur…